Lot
4
Paradise Island

Digital inkjet print on Hahnemühle archival paper, 2014

90 x 120 cm
1/5
Estimate
$1 800
Paradise Island presents a utopian and dystopian vision of a crowded floating city constructed on giant pillars in the middle of nowhere. It was a key element in the exhibition Retour à Paradise Lost, presented recently at Optica to inaugurate its new premises. It explored the idea of paradise lost and the diverse symbolic forms that it may still take in contemporary Western society.
Biographical note
Mathieu Latulippe vit à Montréal. Bien que les interrogations soulevées par sa pratique soient aussi diversifiées que les matériaux et les techniques dont il se sert, ses réalisations trouvent leur unité dans le fait qu’elles visent toujours à tisser des liens impromptus entre divers éléments plus ou moins hétérogènes afin de réfléchir, avec une touche d’humour tragicomique, sur certaines mythologies ou perceptions physiques, sociales ou culturelles qui influencent notre façon d’agir, de voir et de ressentir les objets, les images, l’espace et les gens qui nous entourent.  On a pu voir le travail de Mathieu Latulippe au Canada et à l’étranger, notamment au Festival international du film sur l’art (Montréal, 2005 à 2008), à la Manifestation internationale d’art de Québec 4 (Québec, 2008), à la Galerie Clark (Montréal, 2009), à Netwerk et à l’Établissement d’en face (Belgique, 2010), à la Fonderie Darling (Montréal, 2010), à la Triennale 2011 du Musée d’art contemporain de Montréal ainsi qu’à Optica (Montréal, 2014). Diverses résidences offertes entre autres par Among other things, en Turquie (Bolu, Istanbul, 2010) et par art3 et Optica à Valence (France, 2012), ont contribué à la progression de son travail.