Lot
37
Le bouclier perdu 06 min 48 s
Inkjet print on Photo Rag paper, 2005-2012
43 x 58 cm
Edition of 3
Estimate
$2 800
In 2005, with the support of Oboro’s new media lab, I created my first work of human representation that was not a public performance. Based on several photographs of myself, this video project led me to explore a new artistic field in my research on disciplinary limits. Using fixed images and morphing software, I created a motion effect resembling undulating water, capturing the slow movements of a reclining body. A solitary act without narration, Le bouclier perdu evokes solitude, silence, and incomprehension. Often perceived as a “moving painting,” this video loop was presented at various exhibition venues and video festivals. Since 2012, it has existed in photographic form.
Biographical note
Diane Landry est née en 1958 au Cap-de-la-Madeleine et elle travaille à Québec. Elle a étudié les sciences naturelles et travaillé dans le domaine de l’agriculture. À l’âge de 25 ans, elle a pris une autre direction, estimant qu’il serait plus facile de changer le monde par les arts visuels. Elle est titulaire d’un baccalauréat en arts plastiques de l’Université Laval (1987) et d’une maitrise en arts plastiques de l’Université Stanford (2006). Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions au Canada, aux États-Unis, en Amérique latine, en Europe, en Chine et en Australie, où elle l’a également présenté sous forme de performance. Landry a été artiste en résidence à New York, à Montréal, au Centre Banff, à Buenos Aires, à Marseille et à Utica (New York). En 2009, le Musée d’art de Joliette publiait une monographie soulignant la première rétrospective de son œuvre, Les défibrillateurs, et en 2013, sa première rétrospective aux États-Unis, The Cadence of All Things, a été présentée au Cameron Art Museum, à Wilmington (Caroline du Nord).